• Le sexe

    C'est bien sympathique d'avoir un amoureux, de se blottir contre lui, le serrer, l'embrasser comme un/e fou/ folle avec la langue et le/ la carresser.

    J'adore cette sensation de bien être ou lui et moi on se désir et où il est insoutenable de s'aimer.
    Cela fait parti des petit plaisirs de la vie où personne ne me contredira. Bien sur, c'est pas le plus important dans un couple mais c'est quand même le ciment; un couple qui le fait pour dire de l'avoir fait n'ira pas loin.
    Se regarder dans les yeux et s'aimer c'est magnifique.
    Je suis quand même très porté cul mais je peux m'en passer.
    Benoit, mon homme, m'a ouvert vraiment les yeux ce week end.
    Je voulais aller dans un salon échangiste et il m'a di que de faire ca apres ce qui m'était arrivé, c'était que je ne me respectais pas et il a raison.
    J'ai étais violé 3 fois mais je ne veux pas m'étaler pour le moment sur ce sujet . J'aimais baiser et je ne savais pas ce qu'étais faire l'amour. Depuis ce week end je sais. C'est pas un acte égoiste qui doit faire mal mais ujn moment à deux de désir et d'amour


  • Commentaires

    1
    Lundi 24 Avril 2006 à 16:52
    BRAVO
    Pour cet article tout à fait exceptionnel anne-so. Tu as carrément raison, et Benoît aussi. On ne se respecte pas à force de chercher des plans cul, je suis heureux que tu es trouvé Benoit dans ta vie, et j'espere de tout coeur que vous serez heureux car tu le merite
    2
    Winston Wolf
    Lundi 24 Avril 2006 à 17:12
    et je comprends mieux ce com sur Muse...me fait plaisir, j'aime pas quand je comprends pas. Noir Desir reviendra, t'inquiète.Take care.
    3
    Lundi 24 Avril 2006 à 17:35
    la joconde
    vous avez bien voulu me laisser le message suivant : Celui qui a servi de model pour ce tableau n'es autre que lui même. Il s'est peind en femme. Il était homosexuel. Tout cela est prouvé. Je ne te dis pas non plus que c'est la vérité mais ca a ete prouvé. merci de votre commentaire mais à dire que tout cela est prouvé ! Le mystère de l'identité du modèle En ce qui concerne l'identité du modèle, toutes les hypothèses, y compris les plus farfelues, ont été envisagées : Isabelle d'Este, qui régnait à Mantoue lorsque Léonard de Vinci y séjourna -nous connaissons d'ailleurs un dessin de sa main la représentant- ; une maîtresse de Julien de Médicis ou de Léonard ; peut-être même une femme idéale ; et même un adolescent habillé en femme, voire un autoportrait. Le premier témoignage concernant le modèle de la Joconde, daté des dernières années de la vie de Léonard, parlait du portrait "d'une certaine dame florentine faite d'après nature sur demande du magnifique Giuliano de Médicis". Nous savons que ce portrait avait été amené en France par Léonard de Vinci, lors de sa venue à la cour de François 1er -et sans doute y travaillait-il encore- mais il l'avait commencé durant son séjour à Florence entre 1503 et 1506. Il apparaît donc vraisemblable que le modèle, quel qu'il soit, ait pu être florentin. Plus tard, un deuxième témoignage de Vasari décrivait le portrait de Monna Lisa, la femme d'un gentilhomme florentin, Francesco del Giocondo. Ce dernier, riche bourgeois investi de responsabilités politiques dans sa ville, a réellement existé, mais la vie de sa femme, Lisa Gherardini, née en 1479, ne nous est pas très connue. Nous savons qu'elle avait épousé del Giocondo en 1495 et nous n'avons en fait aucune preuve qu'elle ait pu être la maîtresse d'un Médicis. Plus tard, un autre témoignage anonyme crée une certaine confusion, en parlant, à propos de la Joconde, du portrait de Francesco del Giocondo -origine des thèses hasardeuses qu'il s'agirait d'un portrait d'homme. Un dernier texte, daté de 1625, fait enfin référence au "portrait en demi-figure d'une certaine Gioconda", qui a donné définitivement son titre français au tableau. A ce jour, nous ne possédons aucune preuve définitive sur l'identité de la femme représentée par Léonard. En fait, il est étonnant de noter que l'on retient davantage aujourd'hui les aspects universels du tableau -l'idéalisation évidente du portrait, l'imagination qui a inspiré le peintre pour le paysage, l'équilibre de la posture du modèle-, plutôt que la référence à une personnalité ayant réellement existé. Même s'il a peint avec réalisme un visage de femme, il est clair que Léonard s'est définitivement dégagé des obligations de fidélité pour rechercher une description abstraite de la figure humaine. http://www.puc-rio.br/louvre/francais/magazine/jocon.htm
    4
    Samedi 29 Avril 2006 à 21:46
    allez Anne-so
    il faut bosser maintenant, tout remettre en ordre
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